Les jeunes : c’est LE prétexte avancé pour s’attaquer au vapotage (prohibition, limitation des arômes, taxes…). Sauf que tout est FAUX. Les anti-tabac font le jeu de Big Tobacco.
Au bout d’un moment, on va finir par se demander. Est-ce que les anti-tabac qui sont vent debout contre le vapotage ne sont pas payés directement par l’industrie du tabac ? Bien sûr que non, bien que si l’on regarde le « chemin » que prennent les subventions, à la source de la source, par des jeux de taxes et de tuyaux, finalement l’argent vient bel et bien de Big Tobacco. C’est ce qu’il se passe en France avec le financement du fond addiction (bien que j’ai entendu dire que l’industrie refuse de payer), ou encore aux USA avec le système des Tobacco Bonds (à lire ici, très intéressant).
Les principaux adversaires de la vape : les anti-tabac (extrémistes)
Il ne se passe pas une semaine sans que les anti-tabac (extrémistes) ne cherchent à nuire au vapotage. À se demander si ils luttent encore contre le tabac. Leur obsession, c’est la vape.
On l’a vu il y a quelques semaines avec l’odieuse campagne de l’OMS, ils ont « inventé » des gamins de 8 ans qui vapotent. Phénomène totalement inexistant partout dans le monde, mais ils en font des affiches et des visuels pour les réseaux sociaux. Ces mêmes anti-tabac (extrémistes) nous rabâchent les oreilles avec les méthodes de propagande mensongères et manipulatrices de l’industrie du tabac, notamment avec le fameux Edward Bernays. Ils emploient exactement les mêmes méthodes pour effrayer et tromper les autorités de santé et l’opinion publique : le mensonge et la manipulation.
L’association SOVAPE vient de sortir une excellente publication sur le vapotage et la grossesse. On trouve dans ce dossier un avis du CNGOF (Collège National des Gynécologues et Obstériciens Français) complètement hors de propos et carrément dangereux. Or, en creusant un peu, on se rend compte qu’il s’agit d’un nouveau « dossier » anti-vape pour lequel une société savante a été trompée et manipulée (à lire ici).
Les jeunes : le prétexte (faux)
Ce n’est pas nouveau, on connait déjà pas mal de données. Mais aujourd’hui, un nouvel article en provenance du Canada, écrit par le Dr JUNEAU sur le site de l’Institut de Cardiologie, jette un nouveau pavé dans la marre : Le tabagisme continue de diminuer chez les jeunes.
En résumé, au Canada, le taux de tabagisme juvénile (16 / 19 ans) quotidien est tombé à 2,3%. Et la baisse a été accélérée très fortement (- 40% de 2018 à 2019 !) et de manière concomitante avec le développement du vapotage.
En clair, au lieu d’expérimenter le tabagisme, les jeunes expérimentent la vape. Et non seulement, ils ne tombent pas dans le tabagisme, mais ils sont aussi très peu à devenir vapoteurs réguliers.
Ces données sont donc EXACTEMENT le contraire de ce que nous serinent les anti-tabac (extrémistes) à longueur de journée. Pour justifier des mesures de prohibition, d’interdiction d’arômes, et de nouvelles taxes sur le vapotage, ils n’ont qu’un mot à la bouche : les jeunes, les jeunes, les jeunes.
C’est un faux prétexte, un fantasme, un mensonge.
Le prix à payer : pour les jeunes
C’est un drame courant en France, le pays de la révolution et des droits de l’Hommes, mais qui est en fait en tête de file des contrées les plus réactionnaires dès qu’on parle des addictions. Les autorités et les anti-tabac (extrémistes) ont beau s’auto-satisfaire et s’auto-féliciter quand le tabagisme juvénile est en baisse, la réalité est encore là : plus de 30% des jeunes de 17 ans sont fumeurs, et 23% sont fumeurs quotidiens*. À comparer des 2,3% au Canada, comment dire… La honte.
Tout le monde est d’accord là-dessus, plus on commence jeune à fumer et plus l’addiction est forte, plus le tabagisme aura des conséquences néfastes (durée), plus il sera difficile d’arrêter. Traduction, avec ses 30% de fumeurs à 17 ans, la France est un paradis pour l’industrie du tabac. Laquelle peut « remercier » très chaleureusement tout ceux qui œuvrent à diaboliser le vapotage et ses arômes qui ont pourtant, on le voit au Canada, la vertu de faire rempart au tabagisme.
Merci qui ? Philipe et Maurice ? Non, merci les anti-tabac (extrémistes) !
Le prix à payer : pour les fumeurs
Une étude est sortie dernièrement, si un fumeur se met à la vape et utilisent des arômes différents du tabac, il a plus de chances d’arrêter de fumer. Donc au prétexte (FAUX) des jeunes, les anti-tabac (extrémistes) qui se battent contre les arômes font exactement le contraire de ce qu’il faudrait faire. Non seulement, promouvoir le vapotage, mais aussi et surtout, promouvoir les « bonnes pratiques », à savoir charger en nicotine et « s’éclater » avec des arômes « sympas ».
Mais les anti-tabac (extrémistes) sont branchés sur leur logiciel V0.0 « tabac ». Et leur lutte depuis des années a largement dépassé la question de la combustion, le seul et unique danger, finalement, de la cigarette. Leur combat se mène aussi sur le terrain du geste et du plaisir, convaincus que convaincre les fumeurs qu’ils ne prennent aucun plaisir est une manière de les aider. Tout faux encore une fois, c’est ce qui fait le succès phénoménal du vapotage : arrêter de fumer avec plaisir.
Dans leur lutte contre le plaisir et contre la nicotine, puisque les fumeurs ont trouvé une alternative qui marchent et qui leur plait, et puisque les injonctions « au mal » ne leur fait ni chaud, ni froid, le programme (lire ici : actuellement à l’Europe – nouvelle TPD en discussion), c’est taxer la vape. Résultat ? Forcément : plus cher. Forcément : moins accessible.
Les millions de fumeurs remercient les anti-tabac (extrémistes) de réduire leur potentiel à arrêter de fumeur.
Criminels ?
Le célèbre spécialiste anglais au CV long comme le bras, Clive BATES, fait souvent la comparaison sur son blog. Au regard des dangers avérés de la cigarette et des millions de morts, lutter contre le vapotage (et toutes les solutions de réduction des risques), c’est comme si on décidait de cacher à la population un médicament ultime contre les cancers.
On en est là.
Zéro mort du vapotage, des milliers d’études rassurantes, des millions d’utilisateurs qui ont arrêté de fumer, des données sur les jeunes complètement contraires au fantasme de la « passerelle », mais les anti-tabac (extrémistes) sont les plus virulents contre le vapotage. Ils sont en guerre. Et leur guerre fera des morts, inutiles et surtout, évitables.
Quand, quand, quand… des politiques vont faire cesser cette farce qui prend les airs d’un véritable scandale sanitaire international avec l’OMS en tête de pont : + lire le dossier OMS et lutte contre le tabac réalisé par SOVAPE.
Aujourd’hui Big Tobacco, c’est l’industrie du tabac + les anti-tabac (extrémistes).
Dramatique.
Désolé / précision…
Les « anti-tabac (extrémistes) » dans ce texte désigne une toute petite « clique » de fondamentalistes mais qui ont mis la main sur toutes les organisations et qui saccagent le travail d’une majorité d’acteurs responsables, qui savent et veulent ouvrir la voie à la réduction des risques mais qui sont bâillonnés et soumis à la dictature des extrémistes.