Bonjour !

Personne n’a pu passer à côté cette semaine. C’est dans tout les médias, propagande, on va taxer plus les fumeurs. Ça ne pose de problème à personne, fumer c’est mal, y’a qu’à pas fumer. Même les fumeurs se laissent convaincre que c’est bien. Un extraordinaire exemple de fabrique du consentement.

En parallèle, les marchands de doutes sur le vapotage ont infecté certaines sociétés savantes, les institutions et le ministère de la Santé. Message à la population : on est pas sûr que le vapotage est une aide (?!), les milliers d’études c’est pas suffisant (?!), on ne trouve pas de méfaits donc on ne peut pas les mesurer (forcément), donc il vaut mieux de pas conseiller le vapotage aux fumeurs.

En résumé, taxer plus les fumeurs et semer le doute sur le vapotage. C’est quoi le but ?

Bonne vape !

À LIRE SUR LE WEB

 

Une étude qui montre que la vape est encore plus efficace chez les fumeurs qui ne manifestent pas l’envie d’arrêter de fumer. Pour cela, il faudrait que les médecins puissent en parler à leurs patients. Mais le Haut Conseil pour la Santé Publique leur dit qu’il ne faut surtout pas.

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Saisies record des douanes. Mais ça doit être des cigarettes en chocolat, le marché noir n’existe pas, c’est une invention de l’industrie du tabac.

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« … les produits beaucoup plus sûrs représentent une menace existentielle pour un groupe d’intérêt puissant. En tant que profession, la lutte antitabac n’existe qu’en raison de la nécessité de contrôler les graves atteintes à la santé. Une partie importante des professionnels de la lutte antitabac pourrait, à terme, être rendue inutile et sans emploi par des formes plus sûres de nicotine. L’ensemble de l’édifice des carrières, des subventions, des départements universitaires, des revues, des conférences, des campagnes de sensibilisation et du prestige personnel des guerriers antitabac repose sur le danger. Sinon, cela devient l’équivalent du  » contrôle du café « , qui existe à peine. Cela crée des incitations fortes et perverses à trouver (ou à fabriquer) des méfaits pour soutenir la profession. Ce conflit d’intérêts est important et omniprésent, mais il est paradoxalement invisible et n’est jamais reconnu ou discuté. Mais pour beaucoup, cela signifie que les bonnes nouvelles sont malvenues et que les mauvaises nouvelles sont des bonnes nouvelles. Prenez, par exemple, les réactions discrètes à la récente baisse marquée du tabagisme chez les adolescents américains, comparées à l’enthousiasme apparent qui a accueilli la longue liste de craintes (infondées) concernant le vapotage à la nicotine, comme les lésions pulmonaires, le pop-corn long et les crises d’épilepsie associés à l’utilisation des e-cigarettes ou du vapotage. » – Clive BATES. (Merci Véronique Dupont pour la traduction).

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Dans certains pays, encore trop rares, les pouvoirs publics font de la pub pour inciter les fumeurs à essayer le vapotage. Pas nous. On ne sait jamais, on pourrait réduire le tabagisme ?

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Les plus « pauvres » sont ceux qui fument le plus, avec les conséquences que l’on connait. Solutions du gouvernement ? Taxer plus, ce qui appauvri encore plus. Dire que vapoter c’est mal (ou vivement pas recommandé), ce qui ferme la plus grande porte de sortie, pour réduire les risques de maladies et de mort prématurée et cesser de s’appauvrir. Bravo !

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Les fumeurs, vaches à lait pour les finances publiques. Ne surtout pas leur donner trop de solutions pour qu’ils arrêtent. Surtout pas la vape, solution la plus performante pour sortir du tabagisme ET en rester éloigné. Pour rappel, le « coût social », à part les dépenses de santé (15 milliards max), c’est pas un coût pour l’État. Si le paquet était vendu 45€ comme certains anti-tabac le réclament, je ne crois qu’il soit prévu de rembourser avec ces taxes les pertes de productivité aux entreprises ou indemniser les familles qui ont perdu un proche. Si ?

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1 cigarette sur 3 n’est pas achetée chez un buraliste. C’est tellement évident, même les données de Santé Publique France concordent, ainsi que celles des douanes. Mais « on » nous dira que c’est faux et que les gens fument moins parce que les ventes baissent. Côté taxes, l’augmentation à venir compensera les pertes.

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Au Royaume-Uni, la préoccupation N°1 est la lutte contre le tabagisme, pas son exploitation. Alors on ne crache pas sur la vape, au contraire.

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Taxer absolument les fumeurs, même s’ils ne fument plus. Un bon message sanitaire. Vouloir freiner l’essor des produits potentiellement moins nocifs, c’est une bonne politique sanitaire.

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Aucune étude sur la toxicité relative du tabac chauffé par rapport à la cigarette fumée ? Faux. L’Institut Pasteur a rendu une étude très claire il y a deux ans. Bien sûr, pour les anti-tabac, cette étude n’existe pas, ou alors l’Institut Pasteur n’est pas indépendant ? J’aime pas le tabac chauffé (la vape c’est beaucoup mieux). J’aime pas les mensonges non plus. Je ne sais pas ce qui fait le plus de mal. Réduire d’un tiers la consommation de tabac chauffé avec pour objectif de renvoyer les consommateurs à la clope ? Ça serait mieux ?

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À LIRE SUR VAPYOU

La Dr. Marion Adler livre son expérience sur la vape : leçon de médecine qui aime les gens

 

Lors de cette conférence, la Dr. Marion Adler présente son expérience très positive de l’usage de la vape en médecine pour aider les patients du mieux possible

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