Bonjour !
Cette semaine a éclairé une situation concernant le vapotage qui interroge vraiment sur les tenants et aboutissants, et sur les alliances de circonstance entre les tenants de l’ancien écosystème du tabac, à savoir l’industrie du tabac et les anti-tabac.
Reportage de propagande anti-vape sur ARTE. Où l’on fait croire que la vape c’est l’industrie du tabac. Et c’est pour ça que « c’est mal ».
Sorite d’un rapport européen pour préparer la nouvelle TPD avec des conclusions qui nient (ou cachent) les faits scientifiques établis. L’objectif étant de restreindre le produit (arômes) et de taxer les vapoteurs (n’oublions pas qu’ils sont des ex-fumeurs qui ne payent plus leur taxes sur le tabac).
Propagande de l’industrie du tabac, avec l’aide de l’AFP, pour faire écho au reportage d’ARTE et tenter de faire croire que oui-oui, ce sont bien eux les « chevaliers blancs » de la RdR.
Publication d’un sondage BVA par l’association SOVAPE qui alerte sur la perception des risques du vapotage et de la nicotine. 75% des français ne savent pas que c’est moins dangereux que la clope. Ce sondage révèle un niveau de désinformation effarant, mais aucun média, ni aucun pouvoir public ne réagit. C’est pas grave. Tant que les fumeurs fument, même si il y a 75 000 morts par an, c’est pas grave. C’est normal.
Bonne vape !
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À LIRE SUR LE WEB
Cet article que l’on retrouve dans plusieurs médias est bien issu d’une dépêche de l’AFP. L’agence de presse soutient donc la propagande de l’industrie du tabac qui cherche à semer la confusion entre tabac chauffé et vapotage, et qui se prétend le chevalier blanc de la RdR, comme si la vape indépendante et la défiance des consommateurs face à l’industrie n’existaient pas. Ce qui est frappant, c’est à quel point cela correspond à la propagande des anti-tabac. Y’aurait-il une entente ? La sortie du reportage sur ARTE et la diffusion de cette « pub » sur l’AFP sont étrangement coordonnées…
Analyse précise et utile (oui les journalistes de la vape font le job de journaliste en lisant les documents) du rapport scientifique européen SHEER qui va servir de base à la révision prochaine la TPD européenne. Des conclusions ahurissantes, car contraires à celles des études que les auteurs ont eux-mêmes référencé. En clair, ils n’arrivent même plus à trouver suffisamment d’études négatives alors ils en falsifient les conclusions. Peut-être comptent-ils, espèrent-ils, sachent-ils que la commission prendra des décisions sans entrer dans les détails ? Contrairement à ce que font les (bons) journalistes (de la vape, en tout cas) et quelques citoyens qui se battent pour défendre leurs droits et ceux de millions de vapoteurs.
Un rapport européen vient de sortir, il va servir de base à la nouvelle réglementation. Les projets de la commission sont : interdiction très large des arômes (sauf tabac et peut-être menthe), taxation sur les produits (récupérer les taxes perdues à cause des fumeurs qui arrêtent), emballage neutre (pénaliser encore plus le marché). Évidemment, aucun projet concernant l’augmentation du taux de nicotine autorisé, ou les flaconnages, qui seraient des mesures positives. On n’est que dans le négatif, durcir encore, « punir » les vapoteurs, affaiblir les professionnels. Les conclusions doivent ALERTER, le rapport se base sur des études, mais on peut se demander lesquelles quand on lit que la vape provoque des risques cardiovasculaires ou encore que le niveau de preuve est faible quant à l’efficacité pour arrêter de fumer !
La bataille est engagée, c’est le moment ou jamais d’aider FINANCIÈREMENT les associations qui sont au front www.aiduce.org et www.sovape.fr, et pour les professionnels www.fivape.org. La mobilisation doit se faire maintenant, dans quelques semaines / mois, il sera trop tard.
Ça devient complètement irréel, l’OMS appuie ses avis sur la fake science en citant une étude frauduleuse qui a été rétractée par le journal scientifique.
Communiqué SOVAPE – Sondage exclusif avec BVA : 75% des Français ne savent pas que vapoter est moins dangereux que fumer. Voilà le résultat de la désinformation (dernier exemple sur ARTE il y a deux jour). La propagande anti-vape et le silence des pouvoirs publics trompent la population à un niveau inédit. SOVAPE publie les avis de nombreux spécialistes qui lancent l’alerte.
+ Voir le communiqué et le sondage
ARTE serait-elle un outil de propagande politique ? Faire accepter à l’opinion publique les restrictions sur le vapotage et les taxes ? La même opinion publique qui ne se chagrine absolument plus des milliers de décès annuels du tabagisme, actuellement 3 fois plus que la Covid.
ARTE, suite…
Exemple d’une saisine auprès du CSA à propos du reportage d’ARTE. Très instructif en lisant l’ensemble des arguments. Chacun peut faire de même sur le site Internet du CSA : ici.
D’après ces chercheurs qui ont analysé la littérature scientifique (revue systématique), vapoter est la solution la plus efficace pour arrêter de fumer.
Questionnaire dans 6 pays européens, Allemagne, Grèce, Hongrie, Pologne, Roumanie et Espagne. Seuls 28% des répondants « perçoivent » le vapotage comme moins dangereux que la fumée. Merci qui ? Cette perception des risques à l’inverse de la réalité (62% pensent que c’est au moins, voire plus dangereux que la clope) est l’œuvre des anti-tabac extrémistes soutenus par le silence des pouvoirs publics. L’industrie du tabac peut les remercier !
+ Lire la publication [en anglais]
Voilà une carte qui permet de comprendre pourquoi l’OMS lutte plus contre la vape que contre le tabac…
À LIRE SUR VAPYOU
ARTE sème le doute sur le vapotage en révisant son histoire
La chaine de TV franco-allemande ARTE propose ce soir la diffusion d’un reportage avec une version révisée de l’histoire du vapotage.
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Dans ce nouveau N°, retrouvez l’édito du Dr. Marion ADLER, tabacologue qui connait et défend la vape très souvent dans les média. + de nombreux articles pratiques et utiles.
“Grâce” à l’épidémie de COVID, “nos” 75000 fumeurs peuvent mourir tranquilles et en silence
Chaque année, il y a 75000 morts du tabagisme en France, et tout le monde s’en fout. Les solutions existent, elles sont, au mieux, passées sous silence, au pire dénigrées sur fonds publics.
