Bonjour !
Veille de cette semaine. 13 articles. Tous négatifs. Comment ne pas s’étonner que + de 50 % de la population estime que la vape est autant voire plus nocive que la cigarette et que 80 % pensent que la nicotine contenue dans la vapeur peut provoquer des cancers.
C’est l’INCa et Santé Publique France qui viennent de confirmer cette incroyable distorsion entre la perception des risques et la réalité.
Avec son sondage annuel BVA, l’association SOVAPE dénonce pourtant depuis près de 5 ans cette situation très nocive pour la santé publique et totalement contreproductive pour la lutte contre le tabagisme. Pour rappel, cette association (vraiment issue de la société civile, contrairement à celles qui s’en réclament mais qui ne sont composées que de bureaucrates) est tenue à l’écart du Plan National de Lutte contre le Tabagisme.
Bonne vape !
IMPORTANT : le prochain magazine VAPYOU N°17 sera bientôt proposé en pré-commande. Si vous avez une boutique de vape, inscrivez-vous à l’alerte pour offrir de l’information saine, rassurante et pratique à vos clients !
À LIRE SUR LE WEB
Un article de presse annonce des maladies chez les jeunes à cause du vapotage. Les journalistes (ou pigistes) sont friands de ces études douteuses pour écrire un papier sensationnaliste qui pourrait « faire du clic », sans même essayer de comprendre, par exemple en allant consulter l’étude pour voir si c’est sérieux (oui, faut savoir lire en anglais et avoir quelques bases sur le sujet…). Voici les commentaires de Claude BAMBERGER, président de l’Aiduce : L’étude en question https://link.springer.com/article/10.1007/s00109-023-02286-8. Faible effectif, les vapoteurs ne sont pas dual users mais une bonne partie étaient fumeurs. La mesure montre que les vapoteurs n’ont pas les mêmes profils que les fumeurs. Les protéines mesurées sont associées et non démontrées causales (ni dans quelle proportions, en l’occurence là le risque en cas de covid pour le profil de leurs participants est quasi nul). Donc affirmer un risque à partir d’un vague indicateur sans même se donner la peine de montrer que l’indicateur est causal du danger… Au même niveau que les fakesciences de superette (le sachiez vous, les fruits et légumes sont pleins de cancérigènes, certains sont même nucléaires)
Diffuser des fake news n’est pas puni par la loi. L’impunité est totale. On le voit en france quand des campagnes de désinformation sont même financées par des fonds publics. Les conséquences se comptent en morts non évitées.
3 ados à l’hôpital. Il semble ici que ce soit encore le Buddha blues qui surgit de temps dans l’actualité. Les jeunes l’expérimentent pour l’expérience psychotrope. C’est une drogue. Bientôt, avec l’interdiction des arômes (pour tout le monde, mais pour protéger les jeunes), on aura le même genre d’accidents mais pour vapoter de la fraise ou de l’ananas. Le marché noir de la vapote va régaler les trafiquants.
SNUS. La nicotine participe à l’addiction à la cigarette, c’est à dire sous forme fumée. Sous une autre forme (non fumée), AUCUNE étude scientifique ne le démontre. Les pouvoirs publics et la presse ne semblent pas le savoir comme s’il n’y avait pas de (vrais) spécialistes qui peuvent leur expliquer ?
De la cytisine. Connue aussi sous le nom de Tabex. Ça ne rapporte rien à l’industrie pharma donc ça ne les intéresse pas. Et au cas où c’est prohibé en France. Aider les fumeurs avec plus de solutions ? Ben. Non. C’est déjà bien que le presse en parle…
Ce milliardaire se prend pour Dieu alors que c’est un Juda, allié de circonstance avec l’industrie du tabac. L’Histoire se chargera de raconter son « œuvre » et pour tous ses amis aussi.
Avec l’argent public (VOTRE argent), voici la publicité qui est diffusée à la population. Comparé à la vérité (OFDT). Est-ce bien normal ?
Au Canada, 25 000 citoyens s’insurgent contre une atteinte à leur liberté (pouvoir vapoter les arômes qu’ils veulent, ne pas être obligés de ne vapoter que du tabac… pour sortir ou ne pas rechuter dans… le tabac !), et le journaliste les qualifie de « lobby des adeptes du vapotage. » Face à eux ? Sans doute une poignée de bureaucrates complètement déconnectés du terrain. C’est partout pareil…
Top interview ! Carré / nickel ! Bravo d’avoir trouvé le Pr Bruno Megarbane. Ça fait plaisir de voir que les campagnes de désinformation peuvent rester vaines et que le discernement est une valeur sûre, sur laquelle on doit compter pour continuer à défendre la réduction des risques et informer avec objectivité.
Les idées reçues sur le cancer. Concernant la « cigarette électronique » la parenthèse (mais elle n’est pas totalement inoffensive) est malvenue car rien n’est inoffensif. Pourquoi ce genre de phrase qui appelle à des absolus alors qu’on parle (seulement) de réduction des risques, immenses au demeurant ! Tout ce qui est dit dans le paragraphe va très bien. Mais le journaliste passe complètement à côté de la question que soulève l’enquête de l’INCa : comment ce fait-il, est-ce bien sain, que 80 % de la population pensent que la vape donne le cancer parce qu’il y a de la nicotine dedans ?
Ce matin le Comité National Contre le Tabagisme (CNCT) a publié une tribune dans Libération. Peut-être le premier acte d’une nouvelle campagne de com’ opportunément en pleine préparation du prochain Plan National de Lutte contre le Tabac (PNLT) ? L’article était réservé aux abonnés… Mais finalement, elle a été publiée en intégralité sur le Monde du Tabac, un site Internet qui s’adresse plutôt et porte la voix des buralistes (et c’est très bien que tout le monde puisse donner son avis). C’est en lisant cet article que j’ai appris ça et que j’ai donc pu lire la fameuse tribune. Sans surprise. Protéger les jeunes ? Bien sûr ! Évidemment ! Il faut éviter qu’une population qui NE FUME PAS ne se mette à fumer. C’est une bonne idée ! MAIS est-il raisonnable pour ça, de détruire, ou même seulement freiner, les opportunités qui pourraient aider 14 millions de personnes qui elles, FUMENT bel et bien, et prêtes à en CREVER bel et bien aussi ? C’est juste ça. La question.
Au lieu de fumer, les jeunes vapotent. Les données aux USA sont claires, l’essor du vapotage est corrélé à l’effondrement du tabagisme chez les jeunes. Or tout ce qui est développé dans cet article part d’un déni de ce phénomène. À partir de là, toutes les élucubrations sont possibles y compris se persuader que la perception « moins nocive » des produits non fumés (ce qui est vrai) est un problème. « Et c’est là que le bât blesse. » d’après cette éditorialiste. Il faudrait mentir aux jeunes, ne pas leur dire ce qui est vrai (ce qui n’empêche pas de les mettre en garde) ? C’est ça une bonne politique de santé publique ?
Cytisine. Prohibition des solutions qui aident les fumeurs (mais qui ne rapportent pas suffisamment). À ajouter au lourd dossier du scandale sanitaire du tabagisme qui va finir par éclater en France.
À LIRE SUR VAPYOU
ALERTE prochain magazine VAPYOU N°17
Vous avez une boutique de vape ? Inscrivez-vous à l’alerte pour ne pas manquer le lancement de la prochaine pré-commande pour le N°17. Avec VAPYOU, vous diffusez à vos clients une image positive et rassurante de la vape, avec des informations saines et vérifiées, avec des conseils pratiques à ceux qui ont décider d’essayer le vapotage pour arrêter de fumer.