Bonjour !
Ne surtout pas manquer cette semaine l’info qui vient de Nouvelle-Zélande (en bas de la newsletter). En quelques années, le tabagisme s’est effondré de presque moitié !
Ça fait vraiment réfléchir par rapport à ce qu’il se passe en ce moment en France.
Bonne vape !
À LIRE SUR LE WEB
Pas de confusion, les bureaucrates parisiens n’ont pas de prise ici.
MAIS en France, on n’a pas de preuve que le vapotage est une aide pour arrêter de fumer.
Les puffs, donc la vape, sont désormais « une menace pour la santé publique ». Les cigarettes, 75 000 morts par an, c’est pas grave, n’en parlons plus.
Aux USA, dans les États où la consommation de cannabis récréatif n’est pas interdit, presque plus personne ne le « fume », ça se vaporise ou ça se mange. Réduction des risques. En France, le niveau désastreux de la prévalence tabagique juvénile (25% des jeunes à 17 ans sont fumeurs quotidiens) est très certainement en partie due au niveau de consommation record de cannabis par les jeunes, certains deviennent fumeurs alors qu’ils ne voulaient « que » consommer du cannabis.
Les jeunes, ces « petits cons » pourraient préférer expérimenter des puffs plutôt que des cigarettes, c’est très mal. Je viens d’apprendre aussi par un professeur de santé publique que le geste crée une addiction, même plus besoin de nicotine, alors qu’il n’y a déjà aucune preuve que la nicotine non fumée crée ne serait-ce qu’une dépendance… et par une journaliste (bien informée ?) qu’un « jeune » qui essaye une puff a 4 fois plus de risque de devenir fumeur alors que l’INSERM (une petite institution scientifique sans importance ?) dit que c’est plutôt 2 fois moins.
Allemagne. + 10% de tabagisme en 3 ans dans ce pays qui collectionne les mesures anti-vape, dénigrement des pouvoirs publics et mise en place de taxes. La France prend sournoisement le même chemin, petit pas par petits pas…
+ Lire l’article (en Allemand)
Cette tabacologue qui n’est pas du tout fermée à la vape croit néanmoins savoir que ça pourrait être une porte d’entrée dans le tabagisme chez les jeunes. À force de propagande les anti-tabac ont ancré cette contrevérité dans tous les esprits, et c’est tellement répandu que personne ne vérifie.
Article abonné, mais le début laisse imaginer la suite, le journaliste semble trouver regrettable que son premier témoin soit passé de la (vraie) cigarette à la vape.
Au Maroc, taxer la vape pour protéger le marché des vraies cigarettes ?
Cette entreprise a contribué à l’effondrement du tabagisme aux USA, notamment chez les jeunes. Et c’est mal…
Un politique qui s’intéresse à la vape, c’est rare. Et comme il n’est pas au gouvernement, il en parle…
« L’appât du gain » comme motivation pour que les femmes enceintes fumeuses arrêtent. Je me demande si par précaution il y a eu une évaluation des conséquences psychologiques possibles chez les femmes et leurs enfants, en cas de succès et en cas d’échec. Si « tout ce qui compte » c’est la santé des femmes et des enfants (en leur évitant l’exposition au tabagisme), c’est bizarre qu’à côté de ces expérimentations le vapotage soit officiellement proscrit. Après cette expérience de la « récompense », bientôt on va tenter la punition ? Après tout, vu que la morale ne compte pas, si ça marche…
À LIRE SUR VAPYOU
En Nouvelle-Zélande, le tabagisme s’est effondré de presque moitié ! Pourquoi ?
La Nouvelle-Zélande vient de publier son enquête annuelle sur la santé, le tabagisme s’effondre dans toutes les classes d’âge et de population.
Et maintenant, Santé Publique France déconseille le vapotage aux femmes enceintes fumeuses
Santé Publique France avec Tabac Info Service diffuse pour le Mois Sans Tabac un flyer qui dit aux femmes enceintes fumeuses : qu’il n’est « pas si difficile » d’arrêter de fumer ; qu’il est « préférable » d’arrêter complètement de fumer ; qu’il est « déconseillé » de vapoter. Vape et grossesse, de quoi on parle, comment on en est arrivé là, lisez toute l’histoire…
Philippe GRUNBERG, médecin généraliste : substituts nicotiniques, vape, accompagnement… tout est bon pour aider les patients.
Le Docteur Philippe GRUNBERG passe sa vie de médecin au contact de ses patients, près de 40 ans d’expérience, il n’a donc pas attendu la vape pour les aider. Interview.